En retrait pendant trop longtemps, il s’égare
dans l’analyse de lui-même.
... Pièce après pièce
son corps se hisse hors de l'abîme. Au détour
d’une marche, croisant des incompris dans l'oubli, et
des impulsions latentes ...
- il se met à plat calmement.
Grincement -
Les espaces dissimulés produisent un langage, mais
n'expliquent rien. Dans la paix luxueuse de la poussière
il se retourne.
- La réponse n’y apparaît pas. Juste fait-il
une petite pause dans la confusion,
en essayant d'emprunter un palier pour en oublier un autre, ou bien
pour se projeter à nouveau dans le passé.
"Dans ses ombres continues, aucune découverte
n'est possible. Tellement semblables l’une à une autre sont ses marches,
qu’il est impossible de les employer pour narrer la vie. En outre,
tellement aime-t-il les tournants qu'il n'arrive plus
à se percevoir en entier. "
Plus tard, il se rend apparemment compte
de sa disparition inévitable
à une certaine marche, mais refuse toujours de se changer. Les fragments obstinés
se relaient, et tirent sans cesse de nouveaux sens.
"Le long de soi-même, que ce soit la montée ou la descente, tout est
inconnu, y compris la lumière à la surface cachée du passé, ainsi que
les mains courantes tendues dans la perplexité. "